Le marché immobilier ne va pas revenir "comme avant". Voici pourquoi.
Depuis des mois, on attend un “retour à la normale”.
Mais 3 signaux forts indiquent que le marché change structurellement, pas temporairement :
Les vendeurs ne sont plus en position de force
Fini le temps des offres au prix dès la première visite.
Aujourd’hui, un bien peut rester 90 jours ou plus en vitrine… sans appel.
Les acheteurs ont repris le pouvoir, mais…
Ils sont plus exigeants, plus frileux, et surtout… plus bloqués par les taux.
Même avec de belles opportunités, le financement reste un frein massif.
Les prix affichés ne veulent plus rien dire.
Les compromis se signent souvent avec -10 à -15 % de décote.
Un bien à 300 000 € ? Il part à 260 000 €. Et encore…
Résultat : la tension baisse, la négociation revient, et le rôle du conseiller reprend du sens.
Plus que jamais, les vendeurs ont besoin de vérité et de stratégie, pas de promesses creuses.
Et vous, quels changements avez-vous constatés dans votre marché local ?
(comportement acheteurs, délais de vente, baisses de prix…)
En 2026, une simple ligne dans le DPE va tout changer.
Environ 850 000 passoires énergétiques vont disparaître des radars.
Et 50 % des logements chauffés à l’électricité vont être mieux classés.
Mais attention : ce n’est pas forcément une bonne nouvelle.
Que se passe-t-il exactement ?
À partir du 1er juillet 2024 (pour une application dans les DPE officiels à partir de 2026),
l’algorithme de calcul va être modifié pour corriger une anomalie majeure :
les logements chauffés à l’électricité étaient jusque-là pénalisés de manière excessive.
Par exemple, un studio bien isolé mais chauffé à l’électrique pouvait être classé G,
alors qu’il consommait très peu.
Conséquence : décotes injustes, ventes bloquées, mises en location impossibles.
Ce qui va changer :
De nombreux biens vont mécaniquement remonter en classement (de G à E, de F à D).
Mais les véritables passoires… resteront de vraies passoires.
Le marché risque de se scinder en deux : d’un côté les biens "reclassés", de l’autre ceux à rénover pour de bon.
Pour les professionnels de l’immobilier :
il est temps d’anticiper ces changements, notamment si vous avez des biens classés F ou G en portefeuille.
Ce nouveau DPE va clairement modifier la perception des biens… et leur valeur.
Et vous, avez-vous des logements concernés ?
Pensez-vous que cette réforme va clarifier les choses ou ajouter de la confusion ?
Vous avez remarqué que les annonces immobilières mettent en avant terrasses, jardins et balcons ? Ce n’est pas un hasard !
Ces espaces extérieurs sont devenus des critères de choix incontournables pour les acheteurs.
Ils offrent un prolongement naturel de l’intérieur, un coin de verdure ou de soleil, et surtout une véritable bulle de bien-être. En zone urbaine, disposer d’un extérieur privé est un privilège recherché, ce qui augmente la valeur du bien.
Les acquéreurs sont particulièrement attentifs à la superficie, à l’exposition et à la qualité des aménagements. Un balcon bien exposé ou un jardin aménagé peuvent faire la différence lors d’une visite.
Avant d’acheter, renseignez-vous sur la surface, l’orientation et les possibilités d’aménagement de l’espace extérieur. Un choix éclairé vous permettra de profiter pleinement de ces précieux mètres carrés et d’optimiser la valeur de votre investissement.
On aimerait vous accompagner pendant votre visite.
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